Parodie de tollé à l’Office des routes : insolite et scène de mauvais aloi, halte à tout complot politicien visant la déstabilisation du DG Jeanneau Kikangala !

Par Jacques Kitengie

Les services de communication de l’Office des routes ainsi le Directeur administratif, ont fait une mise au point coupe-gorge pour éclairer la lanterne de l’opinion publique, au sujet d’un simulacre de tollé enregistré ce jeudi 11 avril 2024, au siège de l’Office des routes, sur l’avenue de la science à la lisière de la commune de la Gombe. D’entrée de jeu, il ressort que depuis l’avènement en septembre 2022, l’actuelle équipe dirigeante de l’Office des routes a trouvé des cas de retraites à régulariser, selon les lois et textes réglementaires en vigueur au pays. Dans un premier temps, il a été question des agents et cadres qui devaient être retraités en 2020, puis ceux qui devaient être retraités en 2021 et en troisième lieu un lot pour l’an 2022.

Tenez ! À en croire la mise au point des services de communiquer de l’Office des routes, sur fond de l’accord du ministère de tutelle, de la Délégation Syndicale et du Conseil d’Administration de l’Office des routes, la Direction Générale, sous la conduite du professeur Jeanneau Kikangala Ngoy, a levé utilement l’option de régler cette situation « irrégulière, vague par vague ». À cet effet, renchérit la dépêche, les agents listés pour l’an 2020 sont déjà notifiés, il y a plusieurs mois. Actuellement, c’est la vague de 2021 et dans les jours à venir, ça sera le tour de ceux de 2022.

« L’agitation de cet avant-midi émane d’une manipulation de la DRH sortante faisant office d’intérimaire et répondant au nom de Madame Gertrude BAKU NZOAU, retraitée en mal de positionnement. Elle a fait le choix de s’afficher à la tête de quelques agents instrumentalisés pour perturber le climat de travail au sein de l’Office des Routes en troublant l’ordre public ayant fait miroité à ce groupe d’agents qu’on la met à l’écart, parce que selon elle, elle estime que sans elle, personne d’autre ne serait capable de mener des démarches pour l’augmentation des salaires des agents et cadres de l’Office des Routes. Ce petit groupe d’agents instrumentalisés a eu le courage d’accuser tous les tireurs de ficelle en quête d’une santé professionnelle alors que la retraite n’est nullement une sanction négative mais plutôt un droit que l’Etat reconnaît à ses employés », poursuit le communiqué de presse.

S’agissant des salaires, « il faut noter que ceux-ci ne sont pas payés moyennant les fonds résultant d’une exploitation de l’Office des Routes. Celui-ci étant un Etablissement Public ne générant pas des recettes, son personnel est entièrement pris en charge par le Trésor Public à travers le budget annexe. L’enveloppe reconnue pour ce personnel est bien visible à travers la lecture de la Loi des Finances 2024 et de la Grille Barémique y afférente qui doit être exécutée progressivement, proportionnellement au crédit disponible. S’agissant de cette exécution, la part du deuxième trimestre 2024 est déjà connue conformément au travail réalisé d’un commun accord avec la Direction de la Paie du Ministère de Budget. Nous tenons à signaler que nulle part, le Directeur Général de l’Office des Routes a bloqué ce processus d’augmentation des salaires des agents et cadres et n’a envoyé personne à la retraite arbitrairement ».

Les services de communication de l’Office des routes précisent, par ailleurs, que toutes les Décisions prises ont été validées par le Conseil d’Administration. Comme pour clouer les auteurs des accusations gratuites, du reste motivés par la rancœur et la recherche de la déstabilisation de l’Office des routes. Toute honte bue, les pêcheurs en eaux troubles peinent à s’approprier la vision du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, axée sur l’intérêt général, et laquelle est mise en pratique par le très dynamique Directeur général de l’Office des routes. Tout va se savoir.

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