Bonne gouvernance : pourquoi le Ministre d’Etat Pius Muabilu devrait-il gêner certaines sensibilités politiques anti-Fatshi ?

Les chantres du malheur des congolais auraient jubilé, toute honte bue, d’être interlocuteurs d’un Muabilu qui se laisserait perturber, dans son action politique, par les signaux d’intimidation émis par ceux là, notamment qui ont longtemps spolié le parc immobilier de l’Etat et juré par la prise en otage du destin collectif.

Muabilu hier, Muabilu Mbayu Mukala aujourd’hui. L’incompris Pius Muabilu dont la tête est sans cesse mise à prix par les ennemis du bonheur du peuple congolais, pour des raisons inavouées. Ceux qui, autrefois, n’avaient jamais digéré de voir le chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo présider aux destinées du géant Congo Kinshasa et changer les choses au pays n’ont pas lâché de combattre sans repos le Ministre d’Etat en charge de l’urbanisme et habitat. À la fois partenaire politique clé du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et véritable Warrior du gouvernement central en place, le chef de file du clan politique Alliance pour l’avenir et du Congrès national congolais créerait l’insomnie aux détracteurs du fils du Sphinx de Limete.

Pour s’en convaincre, plus d’un observateur note que les résultats palpables réalisés par le ministre d’Etat Pius Muabilu, sans tambours battants et dans le respect des lois du pays, depuis son avènement en septembre 2019, à la tête de son portefeuille ministériels, lui attirent de plus en plus des ennuis et des jaloux politiques dont la haine viscérale fait follement tapage.

Il ressort, selon des bribes d’informations en possession, que le grand complot contre Pius Muabilu et Fatshi dit béton serait en train de prendre corps. Hélas, ni la frange partie de la classe politique éprise du sens de maturité, ni l’opinion nationale qui n’est nullement dupe, n’ont vocation de subir des coups politiques bas dont le leitmotiv des auteurs est la vengeance et la déstabilisation de meilleurs fils du pays en fonction dans les institutions publiques.

Qui croirait, contre toute attente, que les ennemis de la République auraient plutôt jubilé de vivre la continuité de l’impunité et la mauvaise gouvernance au détriment du souverain primaire, en lieu et place du vent du changement en présence tel qu’il souffle au pays sous l’impulsion du chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ? Wait ans see. Les congolais n’ont pas vite oublié le spectacle hideux vécu en novembre 2020, lorsque lors de la prestation de serments des juges de l’actuelle cour constitutionnelle, dans l’auditorium historique des congrès du Palais du peuple, des politiciens de l’ancien camp Kabila, avaient prétendu humilié le fils biologique et politique d’Etienne Tshisekedi en prenant soin de boycotter la cérémonie. Faut-il rappeler le scénario des pesanteurs enregistrées lorsqu’il a été question, fin 2020 – début 2021 d’instituer un nouvel ordre politique par la mise en place de l’Union sacrée de la nation ? Au moment où cette fois-là un camp politique faisait des incantations dans l’ultime but de brûler carrément la RDC de Patrice Emery Lumumba, sinon de déstabiliser les institutions nationales, comme qui dirait les dieux et les ancêtres permettraient un tel chimère, une infamie.

Il est temps d’arrêter l’hémorragie de la jalousie, haine, sorcellerie pure et simple, hostilité contre ceux qui, de près et de loin, ne ménagent aucun effort pour se distinguer agréablement dans la gestion de la chose publique. Aux Députés et Sénateurs, à la classe politique et au peuple congolais, de demeurer vigilants face à l’ennemi du bien-être du peuple congolais.

Jacques Kitengie

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