« Dossier prise en charge médicale des Sénateurs » : les auteurs du complot contre le Prof Bahati Lukwebo lancent une « énième bombe ridicule »!

Par Jacques Kitengie

Pour la énième fois, les pêcheurs en eaux troubles et détracteurs du président du Sénat en fonction ont trouvé un espace médiatique pour prétendument désinformer, intoxiquer l’opinion publique sur le dossier de la « prise en charge médicale des Sénateurs et leurs dépendants, le personnel politique et administratif du Secrétariat général du Sénat ». Dans un média en ligne dont le propriétaire est proche des officines d’une tendance politique connue, la rédaction du confrère s’est légèrement laissée perméable au sale coup contre le Professeur Modeste Bahati Lukwebo. Personne ne sait, en tout état de cause, à quel prix, cette campagne d’intoxication et de désinformation, mais aussi et surtout de sape de l’image de marque du président de la chambre haute, ce marché des dupes aura été négocié.

Le comble, en effet, ce média qui s’illustre à tort en lanceur d’alerte, parle d’un supposé affairisme au Sénat que dirige le Professeur Modeste Bahati Lukwebo, sous l’œil très regardant des élus des élus, des sociétaires de l’Union sacrée de la Nation, et du peuple congolais en général. Que reproche-t-on au leader des forces démocratiques et alliés face à une décision aussi provisoire que thérapeutique, prise par les membres du Bureau définitif du Sénat en place, par le truchement de la Questeure adjointe ? Cette question sans nul doute pertinente est sur toutes les lèvres des observateurs lumineux.

Tenez! Dans une mise au point datant du 14 mars dernier, les services de communication du Président de la chambre haute avaient apporté toute la lumière, autour de ce dossier, à la satisfaction de l’opinion éclairée. Deux semaines ont suffi pour les pionniers sans foi ni loi des fake news et des coups bats, pour rebondir sur la même affaire qui est par ailleurs claire comme l’eau des roches.

Voici pourquoi les centres hospitaliers SOS Médecins des nuits et la Clinique des Anges ont fait objet du choix des membres du Bureau définitif du Sénat pour la prise en charge médicale temporaire des Sénateurs, leurs dépendants, le personnel politique et administratif de la chambre haute. Il s’agit, sans faux-fuyants, d’un choix se justifiant par le fait que les anciens hôpitaux partenaires du Sénat, à savoir le CENTRE MEDICAL DE KINSHASA « CMK », CLINIQUE NGALIEMA, CLINIQUES UNIVERSITAIRES, HÔPITAL DU CINQUANTENAIRE, ZT NGALIEMA CENTER, ne reçoivent plus les sénateurs et leurs dépendants ainsi que les agents de l’administration de cette institution, au motif que la chambre haute du Parlement n’a pas honoré ses engagements antérieurs.

« Le SÉNAT doit plus de 800 000 dollars US à ces hôpitaux partenaires. Il faut souligner que les hôpitaux SOS MÉDECINS DES NUITS et CLINIQUES DES ANGES ont accepté de recevoir les sénateurs et leurs dépendants ainsi que les agents du SENAT à crédit », une décision saluée dès le départ par les bénéficiaires, dès lors qu’il faille aux grands maux des grands remèdes.

Quid du leitmotiv des auteurs de la campagne de désinformation et intoxication lancée pompeusement par ces officines des détracteurs de l’autorité MORALE de L’AFDC-A, le prof Modeste BAHATI LUKWEBO qui, pourtant, n’a rien d’intérêt particulier ?
Haine pure et simple, inimitié étrange envers un Humble Serviteur du peuple congolais, qui ne cède pas, heureusement, à la manipulation aux contours diaboliques.

Aux demeurant, le Speaker du SENAT, les autres membres du Bureau, leurs proches, qui ne sont nullement propriétaires des hôpitaux sélectionnés pour la prise en charge sus-évoquée, sont dans les choses sérieuses pour imprimer leur marque à la meilleure gestion du Sénat. Que l’opinion comprenne combien le Prof. Modeste Bahati Lukwebo est visé à tort par ces officines obscures qui ne ménagent aucun effort pour tirer à boulets rouges sur les animateurs du nouveau Bureau, avec un accent particulier placé sur son Président. Cette vaine théâtralisation de la scène politique est désormais démasquée.

Jacques Kitengie

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