Mission de désenclavement de la RDC : la vétusté d’engins de génie civil de l’Office des routes, véritable nœud gordien [Révélation du Journaliste d’investigation Rossy Ntumba Bukasa]

Selon une enquête du célèbre Journaliste Rossy Ntumba Bukasa, les engins de génie civil de l’Office des routes datent pour la plupart de plus de dix ans, d’autant plus qu’achetés autrefois peu avant les élections de 2011. Après plus d’une décennie d’activités, ces matériels roulants et appareils divers de génie civil, ont affecté la capacité de l’Office des routes à gérer le réseau routier d’intérêt général. C’est dire que ladite capacité est visiblement menacée par la vétusté des engins de génie civil sous examen. Rossy Ntumba Bukasa révèle par ailleurs avoir fait la ronde des brigades actives sur les principales routes nationales où l’Office des routes exécute les travaux. Son constat préoccupant, écrit-il dans une tribune publiée ce lundi 06 octobre 2025, est la vétusté d’engins de génie civil de cette entreprise de l’Etat relevant du ministère des infrastructures et travaux publics.

Rossy Ntumba révèle, en revanche, que le chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a une ferme volonté de gagner le pari du désenclavement de l’ensemble du territoire congolais, unique manière de permettre non seulement le développement à la base, à travers les 26 provinces du pays, mais aussi la belle manière de réduire le sous-développement dans le chef des riverains ainsi que l’exode rurale devenue un fléau. Il est question, conseille-t-il, de renforcer la capacité opérationnelle de l’Office des routes, notamment par l’entremise du renouveau des matériels de génie civil. Cet œil regardant du Gouvernement central, affirme Rossy Ntumba Bukasa, sera une épreuve de taille, pour évaluer l’efficience de cet office, dans un contexte où le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo mise sur les résultats escomptés dans sa gestion de la chose publique.
À la suite de ce journaliste d’investigation, l’intersyndicale de l’Office des routes est montée au créneau plus d’une fois, pour alerter les animateurs des institutions, essentiellement le Gouvernement de la République, sur cette triste réalité léguée par les régimes politiques précédents. Tout laisse croire qu’il n’est pas tard pour corriger les erreurs du passé, en rectifiant les tirs. Pourvu que l’empreinte indélébile dans ce secteur de la vie nationale soit léguée enfin aux générations futures, grâce au régime patriotique du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.