Union sacrée : Muabilu Mbayu Pius, l’espoir du peuple « BASONGE », le leadership national persuasif au terroir !
La province de Lomami, mieux le peuple Songye est calme devant le basculement de système politique au pays. Hier « coalition FCC-CACH », aujourd’hui « Union sacrée ».
Les stigmates hideux des deux dernières décennies aux contours du calvaire tels que vécus dans l’approche du développement durable, auront longtemps révolté les filles et fils de Lomami qui connaissent, ce jour, un retard inédit vis-à-vis du développement durable. Aussi bien dans le domaine des infrastructures routières, de la santé, de nouvelles technologies de l’information et de la communication, que de l’eau, électricité, bref du développement intégral.
L’heure semble avoir sonné pour le changement positif des choses. Il est vrai, en effet, que les voix de la Lomami et spécialement celles du terroir Songye qui s’élevaient, ces dernières années, n’avaient de cesse de déplorer la conduite de son leadership national et attribuaient à celui-ci le blocage du développement local. Cette-fois là, contre toute attente, Muabilu Mbayu Pius voyait ses initiatives salvatrices être combattues sans motif, par des ténors de la misère du peuple Songye, ce sous l’œil impuissant de la pauvre population locale. Qui l’eut cru que les choses changent !
De tout ce qui en découle, pour plus d’un Notable Songye, il n’y a rien à tergiverser que durant le régime du président Kabila fils, nombreux projets de développement en faveur de la province de Lomami et singulièrement de la ville de Kabinda étaient détournés par des individus prétendument puissants dans les décisions politiques nationales, au détriment des filles et fils Songye. Attitude dégueulasse d’heureuse mémoire qu’il faille aujourd’hui ou jamais corriger.
Muabilu Pius, le profil probant de la mutation positive en faveur de la Lomami
Enfin, l’occasion est là. Voici venue l’Union sacrée, mouvement politique initié par le président Tshisekedi fils, dans l’optique de rectifier les tirs devant l’impératif de la gestion de la res publica.
La Lomami est le peuple Songe y sont valablement représentés par le regroupement politique AA/a chapeauté par le digne fils du terroir, en l’occurrence Pius Muabilu Mbayu Mukala. Cet élu de Kinshasa, depuis deux décennies, partant de divers Parlements de transition jusqu’aux trois récentes législatures, s’est toujours présenté à raison, comme le défenseur inégalable des intérêts du peuple Songe, autant qu’il les défend pour l’ensemble des congolais. Car son leadership étant avant tout national, lui-même par ailleurs étant chef d’un parti politique implanté sans ambages à travers toute l’étendue du territoire national, mais aussi chef de fil d’un regroupement politique avec une vingtaine d’élus nationaux et consorts.
Ne dit-on pas qu’il convient de laisser la gestion de la res publica aux seuls Hommes d’Etat plutôt qu’aux politiciens parvenus inutilement des innés égoïstes ?
Lomami mérite mieux, Kabinda, Mwene-Ditu, Kamiji, Lubao, Tshofa, Nganda-Jika, Kamende Mission – Kalonda – Ngievu… méritent mieux. Il faut un Muabilu Pius dans le pré-carré du leadership politique national pour changer les choses et redonner un ouf de soulagement au peuple Lomamien, au peuple Songye, Luba, Lubalolo, budia, Kanyok…
somme toute, il faut noter que la ville de Kabinda est inondée d’érosions, sa population est pauvre et vit essentiellement de l’agriculture. L’enseignement y est le secteur de prédilection pour la plupart des jeunes, si ce n’est pas la vie religieuse.
Les choses ont vocation de changer positivement. Pour ce faire, seul le leadership d’Hommes d’Etat est capable d’y arriver. Pour l’instant, Muabilu Pius.
Jacques Kitengie