Sénat : le journaliste Célé Kanangila conseille vivement Samy Badibanga Ntita de démissionner de son poste !
Il ne comprend nullement par quelle magie Thambwe Mwamba Alexis et les cinq autres membres du Bureau définitif ont rendu les tabliers, à l’exception de Samy Badibanga Ntita, du reste premier vice-président du Bureau définitif de la chambre haute. Kanangila Célé, faisant cette mise au point comme analyste journaliste et observateur averti, dit constater que depuis les démissions des membres du bureau du séna, tous visés par des pétitions, « un seul refuse de s’adonner à cet exercice pourtant démocratique ». Il s’agit, précise-t-il, de l’ancien premier ministre Samy badibanga. « L’homme qui a pourtant partagé le bilan largement négatif du bureau Thambwe Mwamba » tient, ajoute-t-il, à conserver son poste « par n’importe quel moyen même contre la vision du président de la République qui tient à l’amélioration des conditions de vie des congolais. Et de justifier ses observations, en alléguant que « cela, seulement parce qu’il est l’ami du chef de l’État ».
Selon le confrère Celé Kanangila qui alerte sur la gestion peu orthodoxe de cet ancien locataire de la primature, le premier vice-président du Sénat devrait démissionner sans délai comme l’ont fait ses collègues membres de l’ancien Bureau définitif.
« Je ne comprends pas comment quelqu’un qui s’est fait débauché, trahissant tout un combat pour le bien-être de tous, mené par le feu Étienne Tshisekedi peut encore se retrouver au bureau d’une institution », se pose-t-il mille et une questions.
Et d’ajouter, « le fait pour lui de s’accrocher à son poste pendant que tout le monde a démissionné est une preuve qu’il combat le vent de l’Union sacrée qui veut faire du peuple d’abord une véritable réalité dans l’assiette des congolais. Samy badibanga n’ayant pas dénoncé les antivaleurs pour lesquelles tous les membres du bureau sortant ont été visés par les pétitions a donc cautionné même le prétendu détournement et devrait aussi démissionner au nom de l’État de droit », insiste Celé Kanangila qui prend pour exemple le cas de Jean Marc Kabund qui avait dénoncé la somme de 7 millions sollicitée pour l’organisation du congrès par l’ancien bureau de l’assemblée nationale.
EJKK