RDC: l’IGF décidément au travail, « le camp des voleurs en cravate multiplie les embûches pour saper les efforts en cours » ! (Observateurs)

Par Jacques Kitengie

L’Inspecteur général des finances Alingete Jules et l’armée des filles et fils du pays dont il dispose, entendez les Inspecteurs des finances dûment rodés, font inlassablement peur. Oui, les efforts de ces humbles serviteurs, sous le leadership éclairé du chef de l’Etat, déterminés à transformer l’Homme d’Etat congolais sont, malencontreusement, confrontés aux embûches de tous ordres. Ils en ont, hélas, conscience et n’osent reculer. Ils ne gasppillent nullement le temps à écouter les chats qui miaulent, les chiens enragés qui aboient, les pigeons qui roucoulent, les grimaces et intimidations des ennemis de la bonne gouvernance. L’IGF Alingete Jules et son armée mènent la barque résolument et se démènent pour l’avènement du nouveau Congo rêvé par le fils du Sphinx de Limete et l’ensemble du souverain primaire.

Du dossier « Bukanga Lonzo, en passant par celui de l’EPST qui concerne à tout dire la gestion opaque des fonds relatifs à la gratuité de l’enseignement, puis la gestion financière des provinces du Lualaba et Haut-Katanga, Sénat, Institut national de la statistique, OVD dans l’affaire 100 jours, gestion des fonds afférents à la lutte contre la covid-19 et tant d’autres dossiers sur la table de l’IGF », que des embûches multipliées contre toute attente, par « certains coupables » pour saper les efforts largement louables consentis conjointement par l’Inspection générale des finances et la justice congolaise.

Visiblement, le changement radical tant réclamé au pays a un prix, dans un pays où durant des décennies, la corruption, les détournements, le coulage des recettes de l’Etat, la fraude, bref la mauvaise gouvernance a dû caractériser la gestion de la chose publique. Qui l’eut cru que l’autorité de l’Etat était désormais une réalité, avec l’avènement du cinquième chef de l’Etat, le surnommé « Béton », Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ?Nouvelles institutions, nouveau mode de vie, nouvelle gouvernance : le salut du peuple.

Les signaux forts du changement résonnent au sommet de l’Etat, avec un tonus embitieux et louable, en termes de thérapie adaptée pour en finir durablement d’avec ces anti-valeurs d’antan tant décriées. Si l’Inspection générale des finances qui fait son travail avec succès donne une lueur d’espoir au peuple congolais et spécialement à tous les observateurs avertis qui auront longtemps déploré le système d’autrefois de mauvaise gouvernance, nombreux auteurs des détournements, fraude, corruption et moult autres anti valeurs condamnables n’entendent pas de la même oreille ce combat de bon aloi. C’est curieux, tout simplement. Mais qu’à cela ne tienne, l’IGF est au travail et ne cède pas aux quolibets et embûches de tout acabit qu’elle surmonte vaillamment. C’est le Congo de Lumumba qui gagne.

Jacques Kitengie

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