Parcelle Gombe 40 : le ministre d’Etat Pius Muabilu rétablit l’Etat congolais dans ses droits bon gré mal gré la témérité des spoliateurs !
Par JKK
Les archives crédibles du ministère de l’urbanisme et habitat renseignent clairement que la parcelle située au numéro 40 de l’avenue Gombe, dans la commune portant le même nom, relève bel et bien du parc immobilier privé de l’Etat congolais. Malencontreusement, certaines voix s’élèvent, toute honte bue, pour réclamer le droit de propriété sur cette parcelle. Les dénommés Me Benoît Tshibangu et Richard Muhungu revendiquent, tous les deux, le droit de propriété sur cette parcelle, brandissant des certificats d’enregistrement, du reste contradictoires de par leur substance au regard de la loi en la matière.
Considérant les efforts titanesques que fournit le ministre d’Etat, ministre de l’urbanisme et habitat, dans l’unique objectif de rétablir l’Etat congolais dans ses droits les plus légitimes, en ce qui concerne son parc immobilier, Célé Kanangila martèle que le Warrior Pius Muabilu Mbayu Mukala mérite à tout point de vue le soutien de tous les congolais épris du véritable amour de la patrie et du bien-être de la communauté nationale. Il déplore, à cet effet, la témérité des spoliateurs des unités de logement de l’Etat congolais, lesquels s’adonnent à une vaine campagne visant à ternir l’image de marque du ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala. Pourtant, ajoute Célé Kanangila, le Warrior ne fait que défendre utilement les intérêts légitimes de l’Etat congolais longtemps saigné par les spoliateurs sans foi ni loi.
S’agissant de la parcelle sous-examen telle que située au numéro 40 de l’avenue Gombe, force est d’indiquer que les dénommés Me Benoît Tshibangu et Richard Muhungu, détiennent tous les deux des certificats d’enregistrement. Les deux disent avoir acheté ladite parcelle auprès des membres de la famille Baruti, nom d’un général d’armée d’heureuse mémoire qui fut un locataire de l’Etat congolais. Le peuple congolais n’est pas dupe pour partager l’éventuelle douleur des compatriotes qui s’évertuent à s’accaparer, à leur aise, des maisons de l’Etat, comme qui dirait l’anarchie aurait sans fin sa place au pays.