Halte à l’intoxication : le Professeur Bahati Lukwebo n’a jamais menacé de démissionner de son poste !

Ni de près, ni de loin. Le président de la chambre haute du Parlement congolais n’a jamais menacé de démissionner de ses fonctions. Ses détracteurs ont vraisemblablement manqué la bonne occasion de chercher des poux sur la tête du chauve.

Incroyable, mais vrai.

À quelques jours de la publication de la prochaine équipe gouvernementale, des officines obscures non autrement identifiées ont multiplié une campagne de diabolisation et d’intoxication contre la modeste Personne du Professeur Bahati Lukwebo, président statutaire du regroupement politique Alliance des forces démocratiques et alliés, AFDC-A.

Dans des articles qu’ils font pompeusement publier dans certains médias en ligne, ces détracteurs font à tort le procès d’intention au Speaker du Sénat.

En clair, ils allèguent que le Professeur Bahati Lukwebo menacerait de démissionner si certaines revendications politiques attribuées à son regroupement politique ne sont pas prises en compte, par le premier ministre – chef du prochain gouvernement de l’union sacrée.

« C’est faux. Ces informations distillées par nos ennemis. Le président du Sénat, le Professeur Bahati Lukwebo n’a jamais menacé de démissionner de son poste », rétorque à chaud une source proche du président de la chambre haute du Parlement congolais.

Et de renchérir, dans la même perspective, que le Professeur Modeste Bahati Lukwebo est concentré à travailler résolument pour redorer l’image de cette deuxième institution du pays dont il a la charge, en vue d’aider le chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, à concrétiser sa vision pour l’intérêt du peuple congolais.

En tout état de cause, « ces détracteurs se sont trompés de cible », appuie un autre observateur qui regrette la bassesse de certains milieux politiques qui, contre toute attente, continuent à faire recours aux vieilles méthodes politiciennes pour salir les protagonistes politiques, et ainsi prétendre gagner la confiance des décideurs. Cette époque-là est révolue, dans tous les cas, qu’on se le tienne pour dit.

Qu’à cela ne tienne, précise un autre analyste, lors des consultations du premier ministre Jean Michel Sama Lukonde, il a été établi que le regroupement politique qui compte 8 députés a droit naturellement à un poste ministériel, principe de la répartition du pouvoir au niveau du prochain gouvernement. Dans cet entendement, « l’AFDC-A de Bahati Lukwebo a 41 députés, cest logique qu’il ait 5 postes ministériels », question d’éviter une injustice qui ne dira pas son nom quant à la clé de répartition.

Jacques Kitengie

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