Gouvernement Sama Lukonde: cap sur les perles rares parmi les femmes, le profil de « Stéphanie Mbombo » comme véritable portrait robot ![Analyse]
Parité, oblige. Compétence aussi. Le premier ministre Jean Michel Sama Lukonde cherche les « guerriers » qu’il appelle les « warriors », pour intégrer le prochain gouvernement de l’Union sacrée de la nation. Il va sans dire que la richesse congolaise, c’est avant tout la ressource humaine surtout celle féminine. Quelle femme au prochain gouvernement? D’autant plus que certaines femmes d’autrefois, tombées dans différents gouvernements, tels les cheveux dans la soupe, venues de l’école du « dialelo » et « chance eloko pamba » ont déçu la communauté nationale.
Visiblement, il est désormais impérieux de focaliser l’attention sur les femmes qui font preuve des compétences, d’honnêteté, d’engagement citoyen, de paix et d’amour de la mère patrie. Ces femmes dites perles rares sont là, en tout état de cause, soient-elles rarissimes.
Sur la liste, une digne fille du pays qui ne cesse d’exceller dans plusieurs domaines aussi bien scientifique, éthique, diplomatique, professionnel que de management, figure en pôle position avec sa grande capacité d’innovation tant recherchée dans la gouvernance. Mbombo Stéphanie, c’est d’elle qu’il s’agit, licenciée en droit, experte en management, consultante et leadership, formatrice en entreprenariat et surtout diplomate qui rentre fraîchement au pays, munie dans sa gibecière, d’une structure dénommée CRIC, entendre le Cercle des réformateurs Intègres du Congo.
Stéphanie Mbombo, pour la citer plus d’une fois, a recruté des jeunes de tout bord et les a formé en toute responsabilité pour servir et soutenir la vision du chef de l’État, consistant à réformater et à réinitialiser le Citoyen congolais pour envisager un Congo nouveau.
Décidément, le premier ministre Sama Lukonde Kyenge a le grand choix de pêcher cette perle rare au profil amplement probant. Cette humble servante, Stéphanie Mbombo, dont le périple en Chine a laissé une empreinte indélébile dans la mémoire collective.
L’histoire nous donnera raison surtout qu’elle a fait preuve dernièrement, sur le plateau de la télévision Israélienne, du haut de sa dignité et son dynamisme, en redorant l’image de la Rdc, sur fond d’une offre aux investisseurs et aux autorités de ce pays hôte, des potentialités tant sur les ressources minières, énergétiques, agricoles qu’humaines.
BADRA A.I/Analyste politique et observateur avisé de la Rdc