Dossier EPST VS IGF : drôle de campagne médiatique pour saper les efforts de l’IGF, qui est derrière cette sale besogne ?
L’inspection générale des finances, IGF en sigle, gênerait curieusement, de par son action salutaire visant à stopper l’hémorragie de la corruption, fraude, détournements de fonds publics, coulage des recettes dans les institutions de l’Etat et autres anti-valeurs tant décriées dans la gestion de la chose publique, certains fils et filles du pays qui ne digèrent nullement l’instauration stricte de la bonne gouvernance dans la gestion de la res publica. Contre toute attente, ces derniers jours, quelques journalistes visiblement proches de certaines personnalités politiques en conflit avec l’inspection générale des finances et la justice congolaise, se seraient évertuées de combattre, à cor et à cri, les efforts déployés par l’IGF que dirige Jules Alingete. Ça s’appelle, sans faux-fuyants, incivisme et manque de patriotisme.
« Entre celui qui vole l’argent de la gratuité de l’enseignement et celui qui fait arrêter le voleur, qui torpille l’action du chef de l’Etat? », s’interroge, dans une dépêche, le service de communication de l’inspection générale des finances. Une préoccupation légitime et qui vaut, tout compte fait, son pesant d’or. Car en effet, une team des journalistes décidément recrutés par des officines obscures, multiplierait des sorties médiatiques tapageuses dans l’ultime objectif de vilipender les animateurs de l’inspection générale des finances, qui du reste, ne font que le travail constitutionnel axé sur l’intérêt supérieur, suivant la vision du chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Vivement le recyclage des journalistes anti patriotiques!
La thérapie sus évoquée du recyclage peut paraître étrange, elle est pourtant adaptée au fléau dénoncé en rapport avec les égarements professionnels de certains journalistes à la solde du roi dollar, et ce, à quel que prix que ce soit.
Aux grands maux, de grands remèdes, dit-on. Il est temps, en tout cas, de corriger les tirs face à cette dérive de la désinformation en résistant aux anti-valeurs. L’image de la presse en dépend, celle du pays aussi, et du devenir radieux de la communauté nationale. Doit-on ou ne pas soutenir l’IGF et la justice congolaise dans la traque des ennemis de la bonne gouvernance dans les institutions nationales ? Wait and see.
EXC/JKK