« Tentative de détournement à l’EPST »: le ministre Tony Mwaba dans le viseur de l’IGF Jules Alingete !
Le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et technique M. Tony Mwaba est vivement averti et interpellé dans la gestion de son portefeuille. D’une part, des observateurs se rappellent que le départ de Tony Mwaba à la tête du ministère de l’Epst avait suscité mille espoirs; ce qui avait motivé par ailleurs l’inspecteur général des finances à présenter ses sincères félicitations au successeur de Willy Bakonga. Dans une dépêche parvenue à EXCLUSIVITÉ.INFO, un analyste proche de l’IGF révèle que « l’imperturbable Alingete craint que le brave d’hier risque de trébucher en suivant les méthodes qui aboutissent au vol et surtout que les auteurs de la maffia Epst ne sont pas tous démantelés ».
Ne dit-on pas que les mêmes méthodes, produisent les mêmes effets ? S’interroge ce dernier qui martèle que l’histoire nous renseigne que le tuyau du détournement des finances publiques à l’Epst est dans l’organisation des Épreuves Publiques, Examens de fin d Études Primaire et les Examens d Etat.
« Les procédures de décaissement posent problème, les respects des règles mêmes élémentaires des finances publiques sont bafoués juste pour faciliter le détournement, soit au niveau du gonflement des listes, soit par le décaissement en liquide, en espèce, lequel n’atteint pas malheureusement les vrais bénéficiaires ou carrément la surfacturation et emploi des fictifs ».
L’analyste renchérit en soulignant que le secteur éducatif étant sur haute surveillance de l’Igf, cette maffia est bloquée par la patrouille financière. « Et il revient au Ministre Udps d’écouter la voix de la sagesse Igf, celle de payer tous les intervenants de l’Enafep par la banque et dans cette optique les Opj qui sont également des agents publics et bancarisés toucheront leurs primes logées dans leurs comptes ».
Et de conclure en rassurant que le contrôle du compte général du trésor renseigne aux Inspecteurs beaucoup de choses et étant des chevronnés des finances publiques, le Président Félix Tshisekedi peut se frotter les mains, les dépenses sont rationnalisées ».
RJ-E