Lutte contre la pauvreté en RDC: faites comme la Fondation Libota, « l’humanisme et l’altruisme », un idéal !

La pauvreté en RD Congo inquiète. La capitale de ce géant pays au coeur de l’Afrique noire n’est pas épargnée, en dépit du fait qu’elle abrite toutes les institutions nationales. Les 24 communes qui composent la ville province de Kinshasa hument l’air d’une pauvreté, mieux une misère qui ne dit pas son nom.

Face à cette situation de désolation pour un puissant pays en richesses naturelles protéiformes comme la RD Congo, gâchette de l’Afrique selon la métaphore de Franck Fanon, la Fondation Libota s’est résolument lancée dans un combat de la recherche de l’équilibre social.

L’humanisme et l’altruisme étant l’idéal de ce noble combat, de bon aloi à tout point de vue, Patrick Eshiba et la Fondation Libota dont il est Coordonnateur exhortent les esprits humanistes à se ranger derrière cet idéal de la recherche de l’équilibre social, bon gré mal gré le contexte de crise multiforme en présence, soit-elle la COVID-19 qui ne doit être un motif d’excuse.

Jeudi 31 décembre 2020, à l’issue d’une ronde humanitaire dans quelque communes de Kinshasa, à la rescousse des orphelins et autres nécessiteux, pour leur apporter sourire en perspective de la fête du 01 janvier 2021, Eshiba Patrick a dû succintement brosser la substance de son apport, lui et la Fondation Libota, dans la lutte contre la pauvreté en RD Congo, en commençant par la capitale.

Alors que d’aucuns se sont contentés, durant l’an 2020, d’être heureux seuls, Eshiba Patrick et la Fondation Libota se sont, eux, divisés en mille morceaux pour signer des actes d’un extrême humanisme en faveur des veuves, femmes entrepreneures au capital peu confortable, orphelins et nécessiteux de tout acabit, pour ne citer que ceux-là.

Conscient, en effet, du contexte socio-économique de 2020 qui s’est avéré tout compte fait délétère, Eshiba Patrick partage quand même son satisfécit pour les réalisations de la Fondation Libota en 2020 :
 »…Mais je suis trop content de ce que la Fondation a eu à réaliser. Ce n’est qu’un pas, voyons voir ce que les années prochaines vont nous réserver », se réconforte-t-il.

« Ce n’est pas vraiment trop facile, mais c’est une question de volonté. Nous croyons et nous sommes persuadés que nous allons y arriver. Cela étant nous disons qu’un seul doigt ne peut pas essuyer le visage, nous en appelons à la solidarité de tous; et ceux qui font aussi cette lutte leur cheval de bataille peuvent nous rejoindre et nous prêter main forte pour qu’ensemble nous réussissions », lance-t-il comme cri d’alarme.

Il importe d’indiquer que la Fondation Libota qui mérite, dans le cas d’espèce, le soutien de tous les esprits épris du sens d’humanisme explore, dans ses actions, le vaste champ de la lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales au travers des actions palpables ménées régulièrement sur l’étendue du territoire national.

Jacques Kitengie

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