Dossier « déguerpissement de Zoé Kabila d’une parcelle de l’Etat » : qui prétend que Pius Muabilu s’achernerait sur l’ex gouverneur de Tanganyika ?

Par Jacques Kitengie

Les amoureux de la toile ont certainement intercepté, avec surprise, ce lundi, un article d’un média en ligne, à travers lequel un probable entourage de Zoé Kabila, alerte pompeusement l’opinion au sujet du déguerpissement dont cet ancien gouverneur du Tanganyika fait objet de ses bureaux situés au numéro 2 de l’avenue Likasi, dans la commune de la Gombe. Curieusement, dans le même papier de presse publié par les confrères, l’entourage supposé de Zoé Kabila, crie à l’humiliation en pointant du doigt le ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala, ministre de l’urbanisme et habitat.

Selon des informations recoupées, c’est depuis plusieurs mois, en effet, que le ministère de l’urbanisme et habitat, sous le leadership éclairé du warrior Pius Muabilu Mbayu Mukala, s’est engagé résolument à remettre l’Etat congolais dans ses droits les plus légaux et légitimes. La loi étant dure, et parce qu’elle reste la loi et s’impose à tous, la surprise n’en est pas une que Zoé Kabila s’en rende compte. Il est toutefois honnête de ne pas crier à l’humiliation et à l’acharnement, d’autant plus qu’il ne s’agit pas d’une affaire privée, mais plutôt de l’Etat congolais dont le patrimoine est à préserver par tous.

Au demeurant, les informations en possession font état d’un nombre important de maisons de l’Etat récupérées de mains des spoliateurs, la plupart étant des dignitaires du régime Kabila, pour ne pas les citer. Ça s’appelle « les effets de l’Etat de droit », du point de vue de nombreux observateurs et analystes avertis de la situation politique.

La communauté nationale est appelée à accompagner sans atermoiements les meilleurs fils du pays, en l’occurrence les warriors du gouvernement central, qui ne ménagent aucun effort pour servir dignement la mère patrie, en dépit des barrières mises par les ennemis de la République qui, dans leur liberté, peuvent se tromper d’époque.

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