« Dossier affaissement d’un immeuble à Gombe » : halte à toute récupération politicienne, le ministre d’Etat Pius Muabilu est le sauveur du ministère !

[Tribune libre de Jacques Kitengie ]

Une éventuelle opinion appuyée visiblement par les détracteurs du ministre d’Etat chargé de l’urbanisme et habitat, du moins ceux à la peau dure, prétend faussement faire un rapprochement frauduleux de la responsabilité du Warrior Pius Muabilu Mbayu Mukala, en rapport avec l’affaissement d’un immeuble situé dans la commune de la Gombe dont le sujet continue à faire jaser. À la surprise générale, certains médias kinois, notamment scooprdc.net, ont lâchement emboîté les pas au point d’évoquer dans une publication une éventuelle « défaillance » du ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala, par rapport au dossier sous-examen. Il s’agit clairement d’une conclusion à la fois drôle et de mauvais aloi, aux contours d’une bombe politicienne mal orientée vers sa cible. Qu’on se le tienne pour dit, le Warrior Pius Muabilu Mbayu Mukala est le sauveur du ministère de l’urbanisme et habitat.

Eu égard au dossier de l’affaissement de l’immeuble, dans le cas d’espèce, ou tant d’autres dossiers liés au secteur de construction et de l’urbanisme et habitat en RDC Congo, sa réforme visant à doter au pays d’un code portant construction et urbanisme s’avère le dernier rempart.

D’entrée de jeu, il sied de rappeler que ceux qui cherchent les poux sur la tête du chauve en s’attaquant à tort au ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala se sont, sans nul doute, trompés de cible. Ces derniers méconnaissent peut-être les efforts titanesques et louables déployés par ce Warrior, pour redresser le secteur de l’urbanisme et habitat longtemps abandonné au pays. S’il est vrai qu’en cinq ans, il est chimérique d’éradiquer tous les maux dénombrés au sein de ce ministère, il est évident que le ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala a résolument planté le décor d’un changement réel que nul averti ne peut contester. Non seulement, le ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu a créé, en matière de construction, un guichet unique de délivrance des permis de construire, pour mettre définitivement fin aux constructions anarchiques dans les villes de la RD Congo, mais aussi et surtout, il faut l’avouer, le Warrior Muabilu a doté au pays d’un instrument juridique sans commune mesure, fin prêt, à savoir le code de l’urbanisme et de construction déjà élaboré et qui est à la dernière phase d’appropriation via les ateliers organisés à l’intention de la communauté nationale.

Adieu les vides juridiques grâce au ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu soucieux de corriger les erreurs du passé dont les répercussions pèsent encore sur le secteur de l’urbanisme et de construction, allusion faite notamment au présent dossier d’affaissement de l’immeuble sous-examen. En effet, le code initié par le ministre d’Etat chargé de l’urbanisme et habitat, avec l’expertise du cabinet Kisaka, reconnaît des infractions en matière de construction qui sont punissables sans complaisance. Au chapitre 3 par exemple dudit code de l’urbanisme et de construction, il est signifié ce qui suit, à l’article 286 du code : « Quiconque réalise ou entreprend, fait réaliser ou fait entreprendre, modifie ou fait modifier des constructions ou installations sans permis de construire ou en violation des dispositions légales ou réglementaires relatives à la construction est puni d’une peine d’emprisonnement de six mois à deux ans et d’une amende de dix millions de francs congolais à cinquante millions de francs congolais, ou l’une de ces peines seulement « .

Et à l’article 287, une autre innovation est celle qui prévoit également des peines à l’encontre des constructeurs, maîtres d’oeuvre ou toutes autres personnes ayant concouru à l’exécution desdites constructions ou installations. Comme quoi, en tout état de cause, la ferme volonté du ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala, en ce qui concerne l’impérieuse nécessité d’arrêter l’hémorragie longtemps décriée au sein du ministère de l’urbanisme et habitat en RD Congo, a été et reste sans commune mesure. Bon gré mal gré une haine inavouée que d’aucuns portent à tort vis-à-vis de cet homme d’Etat, ne doit-on pas reconnaître ses efforts et sa valeur en tant que perle rare dans la gestion du ministère sous-examen ? Au-moins, le chef de l’Etat, premier citoyen de la mère patrie, l’avait reconnu dans son dernier discours à la nation, peu avant les élections du 20 décembre 2023. À tout Seigneur, tout honneur !

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