30 avril et 01 mai: le Professeur Musao Célestin adresse les vœux d’éveil de conscience aux enseignants et aux travailleurs confrontés à l’inconfort !

Mes vœux d’éveil de conscience à l’enseignant congolais et à tous les travailleurs qui vivent l’inconfort de leur situation professionnelle, en dépit des sacrifices consentis au quotidien !

Quelques lignes de l’Honorable Prof. Musao Kalombo Mbuyu Célestin, Professionnel de la craie et élu national du peuple

Le travail anoblit l’homme. Le travail procure l’épanouissement. Le travail, le job, le boulot, que le travail ! Au pays de Lumumba Patrice et M’zée L-Désiré Kabila, le bât blesse. Suis-je perplexe, sinon dubitatif, d’entamer mes courtes lignes par les deux proverbes ci-dessus relatifs aux vertus du travail.

De prime abord, fils d’enseignants [père et mère] et enseignant que je suis, j’ai l’insigne honneur de souhaiter une heureuse journée à tous les enseignants de la mère patrie. Heureuse journée, que dis-je ! Je fais exactement allusion à la vie, précaire soit-elle, sur le plan financier pour la majorité de travailleurs, que nous avons et par ricochet l’opportunité de nous mobiliser pour réclamer nos droits les plus légitimes. D’où le sens de mes vœux d’éveil de conscience à tous les enseignants et à tous les travailleurs congolais.

À quelques heures de la commémoration de la journée du travail, dois-je me donner l’agréable devoir, de souhaiter une joyeuse fête aux travailleurs de notre territoire national. Je ne peux me limiter à souhaiter joyeuse fête aux travailleurs congolais, mais aussi et surtout je lance un appel pathétique aux uns et aux autres, afin de prendre place, sans exception aucune, à bord du bateau de l’auto prise en charge tous azimuts, pour l’amélioration des conditions salariales et de travail.

Lors de l’audition du programme gouvernemental de l’équipe Sama Lukonde, ayant manqué l’occasion de prendre parole pour adresser directement mes recommandations au nouveau gouvernement, je l’ai fait dans la foulée, par le biais d’autres caneaux médiatiques. Dans mon feuilleton, j’ai été clair, en proposant au nouveau chef du gouvernement, de prioriser la question des revendications des travailleurs, en particulier des enseignants. Oui. Il va sans dire que l’enseignant mérite mieux, à tous égards. Le travailleur mérite son salaire, non des miettes. À scruter la réalité de la paie des enseignants et travailleurs publics de la RD Congo, notre beau pays, je reste inconsolable, révolté, irrité. La sainte bible ne dit-elle pas que « Le travailleur mérite son salaire »? Alors un salaire décent qui puisse procurer l’abondance et le bien-être général.
Bonne méditation !

Honorable Prof. Musao Kalombo Mbuyu Célestin, Professionnel de la craie et élu national du peuple congolais

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