Etat de droit réclamé: Thierry Monsenepwo déplore des attaques injustes contre l’IGF Alingete, expression du combat contre l’Etat de droit !
Le Congo a toujours eu l’IGF mais aucun Inspecteur général n’a porté ce service au niveau actuel où Jules Alingete l’a porté, précise ce cadre de la Ccu chère à Lambert Mende Omalanga. Pour Jean Thierry Monsenepwo, le Président de la République a, avec l’actuel force de contrôle financier exercé par l’IGF, la possibilité de mettre fin aux détournements des deniers publics qui, selon les rapports, font perdre à la République près de 15 milliards de dollars l’an, par des coulages.
» On ne peut développer notre pays sans moyens et les moyens, il y en a dans ce pays, mais malheureusement en grande partie, ils s’en vont vers des poches des privés par le détournement. Avec l’actuel IGF, même les administrateurs des marchés tremblent. Donc les Kuluna en cravate tremblent aussi et ce travail de contrôle de l’IGF permet au trésor public de respirer dans un contexte économique mondial négatif caractérisé par la Covid-19″ fait savoir Jean Thierry monsenepwo.
Et de renchérir, dans le même ordre d’idées en déplorant « les agitations actuelles des uns et des autres » qui sont de nature « qu’à nous conforter dans la position de croire que l’IGF est sur la bonne voie sur ce qu’est de la protection des deniers publics. Et les pêcheurs en eaux troubles qui pullulent nos institutions et notre administration ne peuvent que rejeter une telle action, mettant en mal en même temps le travail du chef de l’état ».
Pour ce jeune cadre du parti idéologiquement Lumumbiste, il est inacceptable que le chef de l’Etat accède à la demande des Sénateurs qui veulent faire feu de tout bois en s’attaquant à l’IGF au lieu de suivre son pas en travaillant sur le contrôle parlementaire qui aiderait aussi à résoudre le problème de coulage, parallèlement au travail que fait l’IGF.
Pour conclure, Jean Thierry Monsenepwo invite les congolais à se préparer à une lutte farouche contre les torpilleurs du bilan du chef de l’Etat, qui veulent amenuiser, à l’en croire, son travail de lutte contre le coulage des recettes au travers l’IGF.
EJKK